Réflexion : sauvegarde de données

Il y a deux semaines, ma Freebox Server a grillé pendant un orage survenu dans la nuit. Je n’avais donc pas pu débrancher mon matériel comme c’est conseillé. ^^ Suite à cet événement, j’ai réalisé que si mon PC avait lui aussi prit la foudre, j’aurais perdu pas mal de données et surtout, l’intégralité de mes photos.

Orage et foudre

 

J’ai donc commencé à réfléchir à une solution de sauvegarde. J’aurais dû le faire il y a déjà longtemps mais comme le dit l’adage : « mieux vaut tard que jamais ».

J’ai rapidement abandonné l’idée d’investir dans un NAS (idée qui me trottait pourtant dans la tête depuis quelques mois) car j’y vois deux inconvénients. Tout d’abord, le prix. L’investissement de départ me paraît tout de même élevé pour de la sauvegarde ponctuelle. Ensuite, le NAS serait installé à mon domicile. S’il arrivait un sinistre (ex. incendie), je perdrais les données. Conclusion : dans mon cas, le NAS n’est pas la bonne solution.

Pour être honnête, mon besoin est relativement simple. N’utilisant que très peu le PC de mon domicile, je n’ai pas besoin d’une sauvegarde automatique quotidienne ni hebdomadaire. Une sauvegarde mensuelle suffirait largement. De ce fait, une sauvegarde « a la mano » semble être la meilleure solution.

Dans un premier temps, je pense donc investir dans deux disques durs externes sur lesquels je ferai mes sauvegardes mensuelles. Je garderai un disque à mon domicile et j’emporterai l’autre à mon bureau. Ainsi, en cas de défaillance de l’un de mes disques, j’aurai toujours deux sauvegardes disponibles.

Dans un second temps, j’investirai dans une solution d’hébergement avec assez d’espace disque pour pouvoir faire des sauvegardes dans un cloud privé. Mais j’y reviendrai le moment venu.

Ma logithèque : les indispensables

Comme énoncé dans un de mes précédents billets, j’ai procédé il y a peu à la réinstallation de Windows sur mon Yoga. Je vous propose aujourd’hui un petit tour d’horizon des logiciels composants ma logithèque de base.

Le premier logiciel que j’installe est bien entendu LE navigateur : Firefox !

Ensuite, je passe à l’installation des divers outils composants mon environnement de développement.

Type Sous Windows Sous GNU/Linux
Environnement de développement
  Serveur local Apache (MySQL Php) WampServer LAMP
  Emulateur de Terminal Cmder Yakuake (si KDE)
  Git MySysGit git
  Git dans explorateur de fichiers TortoiseGit RabbitVCS
  Dépendances PHP composer
  IDE Netbeans
  Outil MySQL MySQL Workbench
  Client FTP Filezilla
  BDD sécurisée de mots de passe Keepass

 

Développer, c’est bien, mais il me faut également divers logiciels nécessaires aux travaux « bureautiques ».

Type Sous Windows Sous GNU/Linux
Bureautique
  Suite bureautique Microsoft Office LibreOffice
  Prise de notes OneNote
  Finances personnelles BankPerfect
  Gestion des archives 7zip
  Captures d’écran GreenShot Shutter
  Traitement d’images Gimp (+ Paint.net sous Windows)
  Lecteur audio (travail en musique ^^) Clementine

 

Tous ces outils me sont indispensables que ce soit d’un point de vue professionnel ou personnel. Bien entendu, il s’agit là d’une base. Ma logithèque s’étoffe ensuite au fur et à mesure de mes besoins mais globalement, ce sont là les logiciels que j’utilise le plus au quotidien.

Retour d’expérience : le SAV de Targus

Il y a quelques mois, suite à la casse de mon fidèle sac à dos Port Designs Port Stuttgart après plus de quatre années de bons et loyaux services, j’investissais dans un sac à dos de marque Targus : le Transit TBB45402.

Sac à dos Targus

 

J’étais très satisfait de mon choix. Le sac à dos est confortable, d’une contenance satisfaisante et surtout, il est équipé d’une « capuche » de protection pour les jours de pluie. Pour moi qui roule à scooter, je peux vous dire que c’est vraiment très pratique. Bref, jusqu’il y a deux semaines : bonheur total. Mais voilà qu’après seulement quatre mois d’utilisation, la brettelle gauche commence à s’effilocher.

Targus TDD45402 : bretelle défectueuse

Premier réflexe : faire jouer la garantie. Armé de ma souris et de mon clavier, je me rends donc sur le site marchand sur lequel je l’ai acheté. Après moultes recherches, je trouve enfin le numéro de téléphone du SAV de Targus.

Lâchant frénétiquement souris et clavier, je me jette sur mon Smartphone et compose fébrilement le numéro, prêt à en découdre. Je tombe directement sur un serveur vocal. Premier bon point : il est d’une courté réjouissante. Je suis rapidement mis en ligne avec une dame très sympathique. Cette dernière, d’une voix douce, souriante et polie m’indique qu’elle va m’accompagner dans la création de mon dossier de prise en charge. Après quelques vérifications d’usage et quelques questions sur le problème qui me préoccupe, elle m’indique qu’elle va m’envoyer, dans les prochaines minutes, un email qui stipulera la marche à suivre pour la suite de la procédure. Je raccroche ravi car il faut bien le dire, un SAV téléphonique où l’interlocuteur-trice est poli(e), courtois(e), rapide et efficace… ça ne court pas les rues !

Quelques minutes plus tard, je reçois effectivement le fameux email. On me demande donc mes coordonnées postales et téléphoniques, des photos de la bretelle effilochée ainsi que le numéro de série du sac. Normal ! Qu’à cela ne tienne : 5 minutes plus tard ma réponse est expédiée.

 

Deux heures plus tard, la réponse du SAV arrive dans ma boite de réception. Morceaux choisis :

  1. Nous tenons à vous informer que nous avons passé la commande pour votre sac de remplacement et il devrait vous être livré sous 12 jours ouvrables.
  2. Concernant votre sac défectueux, sachez que nous ne demandons pas que vous le renvoyiez. Vous pouvez donc le garder et en disposer à votre convenance.
  3. Afin de nous permettre de contrôler la qualité de nos produits, nous vous saurions gré de bien vouloir nous envoyer l’étiquette avec le numéro de produit (…)

 

Que dire sinon que je suis extrêmement satisfait du SAV de Targus. Non seulement, un nouveau sac va m’être livré mais en plus, Targus se soucie vraiment de la qualité de ses produits !

Généralement, on gueule facilement quand on tombe sur des SAV foireux. Il me paraissait donc normal (et honnête) de partager cette bonne expérience avec vous. Bref, un grand merci à Targus pour ce service et surtout : BRAVO.

Les réseaux sociaux… et moi

Les réseaux sociaux sont de superbes outils de réseautage et de partage. Malheureusement, j’ai toujours peiné à les utiliser correctement. La masse d’information y est telle que je ne parviens pas à suivre. Du coup, mon utilisation se limite à la lecture de leurs flux respectifs depuis mon Smartphone.

 

Illustration réseaux sociaux

 

Ce qui me gêne le plus avec ces réseaux dits sociaux, c’est la non maîtrise des informations que j’y publie. En effet, sur ce blog, je maîtrise non seulement le contenu, le contenant mais aussi le conteneur ou respectivement mes billets, mon CMS PluXml et mon instance Gandi Simple Hosting. Si un jour je veux faire disparaître mes écrits, je dézingue le tout et le tour est joué. Enfin presque… je serai toujours répertorié sur la Wayback Machine d’Internet Archive et/ou autres aspirateurs de sites. Sur les réseaux sociaux, je n’ai aucun contrôle. Du coup, je réfléchis à 10 fois (voire 100) avant d’y publier. De cause à effet, je n’y publie donc pratiquement pas. Principe de précaution dirais-je ! Mais j’avoue qu’il y a aussi une certaine forme de pudeur.

Pourtant, j’aimerais arriver à les utiliser efficacement. D’une part, parce que je suis persuadé des vertus du partage, d’autre part car le réseautage est devenu, à mon sens, indispensable aujourd’hui aussi bien d’un point de vue pro que perso.

L’autre problème majeur des réseaux sociaux est incontestablement la multiplication des plateformes. Rien qu’aujourd’hui, je suis inscrit sur 5 réseaux. C’est beaucoup… non, que dis-je, c’est trop. Une consultation quotidienne me demande un temps considérable.

Malheureusement, chacun de ces 5 réseaux m’est utile, que ce soit d’un point de vue veille pro/perso ou d’un point de vue réseautage.

 

Diaspora*

C’est le réseau que je suis en priorité. L’information y est pertinente et toujours intéressante. La version mobile est si bien faite qu’un client externe sur Smartphone est totalement inutile. Diaspora* est pour moi l’outil le plus abouti, le plus eye-candy (et vous savez que c’est un paramètre très important pour moi) et le plus ergonomique.

 

Facebook

Pour la famille et les amis IRL, je ne l’utilise que dans un cadre strictement privé. Je n’y publie que très peu car je sais l’appétit de cet ogre pour mes données personnelles. Mais bon, pour rester en contact avec les gens IRL, malheureusement, on ne peut passer à côté. Je constate tout de même, depuis environ 1 an, un net essoufflement du flux. J’ai l’impression que la phase « Je raconte ma vie sur Facebook » est derrière nous. La plupart de mes contacts n’y postent plus que très peu.

 

Google+

Si j’y étais assez présent à ses débuts, je n’y vais plus que très rarement. L’accessibilité depuis mon Lumia est déplorable. Les posts sont triés de façon totalement aléatoire. Deplus, je trouve que l’interface manque cruellement de cohérence. Que ce soit pour la version web mobile ou bureau. Le client Android, par contre, était assez bien foutu (de mémoire). Bref, je n’y vais vraiment que quand j’ai épuisé mes flux RSS et mes autres réseaux.

 

LinkedIn

Plateforme de réseautage pro par excellence, je ne parviens pas vraiment à l’utiliser à bon escient. Je n’ai pas l’impression d’avoir du contenu pertinent à y partager donc du coup, je m’abstiens. Cependant, j’y reste inscrit car comme on dit : On ne sait jamais…

 

Twitter

Il y a quelques années, j’y avais ouvert un compte. Très vite, je l’avais clôturé car je ne l’utilisais pas. J’avoue que j’ai vraiment du mal avec Twitter car on est vite noyé dans un flot d’information non maîtrisable et à l’intérêt plus que discutable. Depuis quelques jours, j’ai rouvert un compte pour tenter à nouveau l’expérience. A part quelques retweets, je n’ai pas encore réussi à m’y mettre sérieusement. Du fait que très peu de personnes de mon entourage l’utilisent, je n’ai pas vraiment le réflexe de tweeter.

 

J’avoue qu’un des grands problèmes des réseaux sociaux est, à mes yeux, leur « chronophagie ». Suivre les différents flux est un exercice usant. Si bien qu’une fois mes flux lus, je n’ai plus envie de publier… ça me fatigue littéralement. Cependant, quand je vois certains internautes et/ou blogueur parvenir à maîtriser leur communication sur ces réseaux, en y publiant régulièrement et judicieusement, je me dis que je dois vraiment mal m’y prendre. Bref, c’est loin d’être gagné !

Si vous avez des conseils pour mieux prendre en main les réseaux sociaux, n’hésitez pas, je suis tout ouïe ! ^^

Bye bye SolydX. Bonjour Archlinux.

Jusqu’à présent, mon netbook (Acer Aspire One) tournait sous SolydX. Un peu lassé de cette distribution, j’ai eu envie de changer d’air.

On choisit une distribution avant tout selon ses besoins, et les miens sont très simples, pour ne pas dire basiques. Il me faut :

  • un navigateur Web
  • un client mail
  • Git
  • un éditeur de texte
  • une suite bureautique
  • un terminal

Bien entendu, comme la distribution est destinée à mon netbook vieillissant, il faut qu’elle soit la plus légère possible. Exit donc les environnements de bureau lourds tels que Gnome, Kde, Unity, Pantheon, etc. Dernier paramètre important, j’ai envie d’une distribution ludique : je veux apprendre en « m’amusant ». Le choix d’Archlinux + Xfce s’est donc assez vite imposé de lui-même.

 

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Back to the « scooter » ^^

Ça y est, je l’ai récupéré ! Il aura passé 15 années seul au fond du garage avant que je me décide à le remettre en service.

Retrouver le scooter de sa jeunesse, c’est également faire un petit bond dans le passé. Car mine de rien, la dernière fois que je l’ai utilisé, c’était en 1999-2000. Le siècle passé… Un petit voyage dans le temps s’impose. C’est parti !

 

Illustration scooter

 

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Dégooglisation : oui, mais en douceur !

Comme beaucoup, mon moteur de recherche préféré est Google. Comme beaucoup, je suis de plus en plus inquiet de la stratégie de la multinationale du même nom qui trace mes faits et gestes sur la toile. Bien entendu, je n’ai rien à cacher. Cela dit, ce n’est pas parce que je n’ai rien à cacher que je souhaite qu’une entité, quelle qu’elle soit, se prenne le droit de collecter mes données personnelles et d’en faire commerce. Voir pire.

 

Illustration confidentialité

 

Comme beaucoup, j’ai envie de reprendre le contrôle de mes données. Une fois cela dit, il faut tout de même se rendre à l’évidence : les produits Google sont tout de même fichtrement bien foutus. Ils sont simples d’accès, puissants et gratuits… même si c’est nous le produit. Mon but n’est pas de me dégoogliser d’un coup, mais de tout doucement migrer mes outils actuels vers des solutions plus saines. J’attaque donc une migration en douceur. Je commence avec les emails et mon moteur de recherche par défaut. Pour le blog, vous savez déjà ce qu’il en est.

 

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La fin de blog-libre.org

Suite à un message de Christophe Gallaire sur le réseau social Diaspora*, j’ai appris la fermeture du blog : blog-libre.org. C’est facile à dire après coup mais je m’y attendais. Cyrille Borne, le maître des lieux, a décidé de mettre fin à l’aventure et, dans un sens, c’est tant mieux. Pourquoi ? Il y a quelques années, Cyrille expliquait qu’avoir un nom de domaine à son nom était un gage de pérennité car cela évitait de s’enfermer dans une ligne éditoriale, dans un thème. Bref, le nom de domaine à son nom, c’est la liberté. Force est de constaté qu’il avait (et a encore aujourd’hui) raison.

Ce que je préférais lire sur le blog-libre, c’est ce que certains appellent « Les aventures de Cyrille ». J’ai beaucoup aimé les textes de Cep, Christophe, Régis et les autres, mais la substantifique moelle du blog-libre restait les écrits de Cyrille.

Le jeune blog que j’ai lancé ici, et à mon nom, est le fruit d’une réflexion, d’une envie de partage initiée par, entre autres, les écrits de Cyrille. Ici, vous ne trouverez pas d’apologie du Libre. J’en parlerai sans aucun doute, mais ce ne sont pas ses écrits sur le Libre qui ont motivé l’ouverture de ce blog. Non, ici, je souhaite simplement partager. Partager sur tous les thèmes qui pourront m’intéresser.

Petite parenthèse concernant le Libre : je suis passé par une phase « libriste » avec le blog open-stream.fr (il n’existe plus aujourd’hui). Je m’en suis vite lassé car depuis quelques années, la communauté du « Libre » ou en tout cas la partie visible de l’iceberg, est devenue violente. Les « Libristes » intégristes se sont fortement affirmés et occupent aujourd’hui le devant de la scène. Ils en arrivent même à s’entre-déchirer. On se croirait presque dans un partie politique. Ils ne défendent plus des valeurs, mais des points de vue radicaux qui mènent parfois à une violence extrême. Une violence dans les propos, certes, mais une violence quand même. Il n’y a qu’à voir les « débats » engendrés par le système d’init « systemd ». Refermons cette parenthèse.

Pour revenir au blog-libre et à sa fermeture, comme je le disais, je n’en suis nullement étonné. Cyrille a pris sur lui ces dernières semaines mais malheureusement (ou heureusement selon le point de vue), une autre issue n’était sans doute pas envisageable. Le blog-libre est né de Cyrille Borne et ce dernier l’incarnait beaucoup trop. Pour que le blog-libre fonctionne, il aurait fallu que Cyrille garde son espace et que le blog-libre soit un outil supplémentaire/complémentaire. A mon humble avis.

J’espère simplement que Cyrille va relancer son nom de domaine car je le suis depuis de nombreuses années et j’ai toujours aimé sa plume, ses écrits. Je ne suis pas toujours d’accord avec lui, mais ce que j’aime chez Cyrille, c’est son honnêteté. Il écrit par passion et non pour convenir à un lectorat.

Bref, Cyrille, s’il vous plaît, revenez !

N.B. Au moment où je prépare la publication de ce billet, je vois que http://cyrille-borne.com/ est de retour. Ouf ! ^^