WordPress : l’extension qui générait une erreur 500 dans /wp-admin

Apache Erreur 500

La redoutable erreur 500 !

Il y a quelques jours, nous avons mis à jour nos serveurs de production de php5.6 à php7.2. Si dans l’ensemble tout s’est bien passé, j’ai eu une assez mauvaise surprise en voulant me connecter aux back-offices de nos sites propulsés par WordPress.

J’accédais bien au site et au formulaire d’identification pour se connecter au back-office mais malheureusement, une fois le bouton « Se connecter » cliqué, je tombais sur une page affichant la redoutable erreur 500 : Internal Server Error (Erreur interne du serveur dans la langue de Molière).

La première chose à faire dans ces cas-là, c’est de trouver l’origine du problème. Logique me direz-vous ! Sachez que souvent, les erreurs 500 sont causées par des extensions présentant des incompatibilités ou des erreurs dans leur code source. Nous allons donc voir comment vérifier que votre erreur 500 n’est pas dû à une extension récalcitrante.

 

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MySQL Workbench : lenteur de la première requête

Depuis quelques jours, j’étais confronté à un problème de lenteur de MySQL Workbench lors de l’exécution de la première requête après l’ouverture du logiciel. Comme on dit : ça ramait ! Une fois cette première requête exécutée, le logiciel fonctionnait à nouveau « parfaitement ».

Bref, ça me « gavait » profondément de devoir attendre de nombreuses secondes que cette première requête s’exécute. Après quelques recherches, j’ai enfin réussi à résoudre ce petit problème et la solution est, pour le moins, d’une simplicité enfantine.

Pour résumer, MySQL Workbench construit un historique au fur et à mesure de votre utilisation. Ainsi, toutes les requêtes saisies sont enregistrées dans un fichier. Lorsqu’on lance une première requête après démarrage du logiciel, ce dernier parcours le fichier contenant l’historique. D’où la lenteur.

Vous l’aurez compris en lisant ces quelques lignes, il suffit donc de supprimer l’historique pour retrouver un fonctionnement « normal » de l’outil dès la première requête. Pour ce faire, rien de plus simple :

  • ouvrez MySQL Workbench
  • connectez vous à une base de données
  • dans le panneau du bas « Output », sélectionnez « History Output »
MySQL Workbench afficher historique

MySQL Workbench afficher historique

  • faites un clic droit dans les panneaux des dates et cliquez sur « Delete All Logs »
MySQL Workbench suppression de l'historique

MySQL Workbench suppression de l’historique

 

Et le tour est joué. ^^ Plus de lenteur sur la première requête au démarrage.

 

Source : https://stackoverflow.com/questions/1786870/mysql-slow-on-first-query-then-fast-for-related-queries/49306659#49306659

Solus et Lenovo IdeaPad Yoga 13 : driver wifi RTL8723AU

Aujourd’hui, j’ai installé la distribution Solus sur mon ordinateur portable : Lenovo IdeaPad Yoga 13. Je lorgne sur cette distribution depuis quelques temps et j’ai donc décidé de sauter le pas en l’installant en dual-boot.

Solus OS Logo

Au premier démarrage, je me suis rendu compte que ma carte wifi Realtek RTL8723AU n’était pas reconnue par le système, ce qui, vous en conviendrez, est relativement gênant pour un usage nomade.

Bref, il m’a donc fallu installer le driver de la carte Wifi à la main.

Je vous partage ici la méthode pour en garder une trace… au cas où. ^^

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Windows Server 2012 : mise à jour d’Apache, Php et des drivers SQL Server

Depuis peu, je découvre les joies (ironie inside) de la maintenance des outils Apache, Php et MySQL sur Windows Server 2012. Si sur Linux il suffit d’une petite ligne de commande pour maintenir ces services à jour, sur Windows, ce n’est pas la même histoire. Comme vous le constaterez par vous-même, ce n’est pas bien compliqué. Ce billet est donc plus un pense-bête qu’un How-To à proprement parler.

 

Windows Server 2012 logo

 

Attention, avant toute opération de mise à jour, il convient de jeter un petit coup d’œil aux ChangeLogs des différents outils pour vérifier que leurs mises à niveau ne vont pas « casser » vos sites web.

 

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Installation d’Apache et Php sur Windows

Aujourd’hui, je vous propose un petit mémo rapide sur l’installation d’un serveur Apache et de PHP sur Windows (dans mon cas, Windows Server 2012). Comme il s’agit d’un mémo pense-bête, vous n’y trouverez pas beaucoup d’explications. Cependant, si vous avez des questions, n’hésitez pas… les commentaires sont là pour ça. 🙂

 

Windows Server 2012 logo

 

N.B. : le mémo ne concerne que l’installation et la configuration de base. Je n’aborderai donc pas la question de la sécurisation.

Sommaire :

  1. Téléchargement et décompression des archives
  2. Édition des fichiers de configuration httpd.conf et php.ini
  3. Test de l’installation
  4. Automatisation du démarrage du service apache (httpd.exe)

 

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php5.6 sur WampServer 2.5

Note du 16/06/2017 : Cette procédure fonctionne également avec php7.1.6 sur WampServer 3.0.6 ^^

 

Cette semaine, au boulot, nous sommes passés à php5.6.16 sur notre serveur de production. Pour développer efficacement, il m’a donc fallu upgrader mon environnement de développement.

Ça tombe bien, WampServer 2.5 (Wamp, pour les intimes) permet d’installer plusieurs versions de php côte à côte et de switcher de l’une à l’autre aisément. Il faut malgré tout respecter la procédure d’installation des nouvelles (ou anciennes) versions de php que l’on souhaite ajouter.

Je vous propose donc de découvrir comment installer php5.6.16 aux côtés de la version 5.5.12 fourni de base avec Wamp.

Si ce n’est déjà fait, téléchargez WampServer 2.5 (http://www.wampserver.com/) puis procédez à son installation.
Personnellement, j’installe toujours Wamp dans le dossier proposé par défaut : c:/wamp. Si vous n’avez pas fait ce choix, pensez à adapter le chemin tout au long du tuto.

 

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Gandi Simple Hosting : Redirection permanente de www vers blog

Ce billet est un mémo personnel. Je le partage ici pour d’une part en conserver une trace et, d’autre part, car il pourrait servir à d’autres utilisateurs du service GSH. Pour info, ce mémo n’est valable que si vous utilisez les serveurs de nom (DNS) de Gandi. Ce mémo est basé sur ma configuration personnel. Libre à vous de l’adapter selon vos besoins.

Lors de la création de ce blog, j’ai opté pour l’adresse blog.juansorroche.com. Aujourd’hui, je souhaite que les internautes saisissant l’adresse www.juansorroche.com ou juansorroche.com ou encore n-importe-quoi-d-autre.juansorroche.com soient automatiquement redirigés vers blog.juansorroche.com.

Pour ce faire, c’est très simple :

  1. Connectez-vous sur votre compte Gandi.
  2. Cliquez sur le nom de domaine auquel vous souhaitez appliquer la redirection.
  3. Dans le menu de droite, cliquez sur « Gérer » de l’item « Redirections web« .
    Gandi.net - Redirections web
  4. Cliquez ensuite sur « Ajouter une redirection« . Vous arrivez alors sur ce formulaire :
    Gandi Ajouter une redirection
  5. Sélectionnez « Directe (permanente) » comme type de redirection puis indiquez le sous-domaine à rediriger. Enfin, saisissez l’adresse de destination.

 

Chaque fois que vous créez une redirection, votre fichier de zone DNS est automatiquement mis à jour.

Au final, votre panneau de gestion de redirections doit ressembler à cela :

Gandi Redirections enregistrées

N.B. : Il faut compter environ deux heures pour que le fichier de zone DNS soit propagé. Passé ce délai, vous accéderez à votre site quelque soit le sous-domaine saisie (ou non saisie).

Et le tour est joué ^^

Wamp : Configurer le stockage de configuration de phpMyAdmin

Note du 27/11/2014 : J’ai apporté quelques corrections à ce billet car dans la première version, je créais l’utilisateur pma avec des droits sur toutes les bases de données. Or, d’un point de vue « sécurité », il vaut mieux que l’utilisateur pma n’est de droits que sur la table phpmyadmin.

Au quotidien, j’utilise MySQL Workbench pour l’administration de mes bases MySQL. Cependant, il est toujours utile d’avoir phpMyAdmin sous la main pour certaines opérations.

Si comme moi vous avez installé WampServer, vous avez surement remarqué ce message indiquant que vos préférences ne peuvent être enregistrées tant que vous n’avez pas configuré le « stockage de configurations phpMyAdmin ».

 

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Clés SSH avec Puttygen : Server refused our key

Si comme moi vous avez généré votre paire de clés SSH depuis l’outil Puttygen (Windows) et que vous avez collé la clé publique dans ~/.ssh/authorized_keys à la barbare avec un « copier-coller » (oui, je sais, c’est sale), vous avez dû tomber sur ce joli message lors de votre tentative de connexion avec Putty :

login as : USER
Server refused our key

 

Le problème vient du format de la clé publique générée par Puttygen. Si vous l’avez simplement collé dans authorized_keys, elle doit ressembler à ça :

---- BEGIN SSH2 PUBLIC KEY ----
Comment: "Generation test" AAAAB3NzaC1yc2EAAAABJQAAAQEAp1ZV6N1Q3z7zhbelrVKZQDXc3DVmAt24ukLM
YBPEhaokXs+TmqcmuKw4oLqAOZABRODj4yLlmpBf7XaPzZaD2E87DiUIRt55ikKm
hq26tIQBqU+xfYSObk4xdO/9aXxUGNWyMD2MG/tppZrtcGF3+q7WoNNTK0x2BE5S
LAxIJytbJzkY3RhojwAxageXPCImaRT2uJBupQoEtGJWQjSvXLts6y3hrzFqpX4V
2li9eLlBE9COOXlfYD9xVWFk+eXYM7uCje0VCKEe93SmSQvxZu4MnbIO9zDrBJY0
jK3lz2qRQ4dKyCDwM+Ay9fx8iL6VxIZ10ixuH2ADgowzhwG/aw==
---- END SSH2 PUBLIC KEY ----

 

Or, pour que le serveur accepte votre clé, il va falloir la retoucher un peu :

  • enlevez les commentaires qui ne servent à rien (si présents)
  • supprimez tous les retours à la ligne inutiles
  • ajoutez ssh-rsa avant la clé (si vous avez généré une clé RSA bien entendu)
  • ajoutez user@nom_de_votre_serveur à la fin de la clé

Attention, le tout ne doit s’étaler que sur une seule et unique ligne. Après modifications, votre clé doit donc ressembler à ça :

ssh-rsa AAAAB3NzaC1yc2EAAAABJQAAAQEAp1ZV6N1Q3z7zhbelrVKZQDXc3DVmAt24ukLMYBPEhaokXs+TmqcmuKw4oLqAOZABRODj4yLlmpBf7XaPzZaD2E87DiUIRt55ikKmhq26tIQBqU+xfYSObk4xdO/9aXxUGNWyMD2MG/tppZrtcGF3+q7WoNNTK0x2BE5SLAxIJytbJzkY3RhojwAxageXPCImaRT2uJBupQoEtGJWQjSvXLts6y3hrzFqpX4V2li9eLlBE9COOXlfYD9xVWFk+eXYM7uCje0VCKEe93SmSQvxZu4MnbIO9zDrBJY0jK3lz2qRQ4dKyCDwM+Ay9fx8iL6VxIZ10ixuH2ADgowzhwG/aw==  user@nom_de_votre_serveur

 

Sauvegardez, relancez Putty, saisissez votre passphrase (si vous en avez saisie une lors de la génération) et le tour est joué.