Brouillon oublié : l’aventure du bépo

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Brouillons oubliés

Deuxième billet de la série consacrée aux brouillons oubliés. Le sujet du jour : ma courte expérience d’apprenti bépoète.

En août 2015, j’ai tenté d’apprendre à taper en bépo. Je l’avais d’ailleurs indiqué dans un billet de la série En Vrac où j’annonçais également que j’allais publier un retour d’expérience « dans les prochains jours ». Je ne m’en souvenais plus mais j’avais bien écrit ce fameux billet. Je ne l’ai simplement jamais publié. Comme le dit l’expression : Mieux vaut tard que jamais.

 

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Brouillons oubliés : Nouvelle série de billets à paraître

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Brouillons oubliés

Comme énoncé dans de précédents billets, la plupart de mes écrits restent longtemps à l’état de brouillon. Quand beaucoup finissent à la corbeille, d’autres se terrent dans un répertoire de mon SSD et finissent par se faire oublier.

Hier, en faisant un peu de ménage dans mes fichiers, je suis tombé sur un répertoire contenant une dizaine de brouillons oubliés. La plupart d’entre eux date des années 2014 et 2015, certains même d’avant l’ouverture de ce blog. Par curiosité, je les ai tous relu. M’est alors venu l’idée de cette courte série de billet que j’ai sobrement intitulé : « Brouillons oubliés ».

Ces billets, bien que périmés ou hors de propos à ce jour, m’ont paru intéressants car on y voit une certaine évolution de mon rapport et de mes usages de l’informatique. Pour ne pas les dénaturer, leurs contenus seront publiés sans retouche, hormis corrections orthographiques nécessaires. Pour les remettre dans leur contexte, ils seront accompagnés d’une introduction et d’une conclusion qui elles, seront actuelles.

Cette expérience d’exhumation de billets m’a fait prendre conscience que je perds beaucoup de matière en supprimant purement et simplement mes écrits quand ils ne me conviennent pas. En effet, même si la plupart d’entre eux ne sont pas forcément satisfaisant, il y a toujours matière à en tirer. Bref, terminé les suppressions de brouillons à la volée.

En 2013 et 2014, j’écrivais parfois simplement pour m’entrainer à écrire, sans ambition de publication. Il m’arrivait donc de rédiger des brouillons juste pour que l’exercice devienne naturel. Un de ces brouillons d’exercice m’a particulièrement touché. Il s’agit d’un billet intime, personnel. Je l’avais complètement oublié mais tout m’est revenu lors de sa relecture. En 2014, lorsque je l’avais écrit avant même l’ouverture de ce blog, il n’était pas envisageable pour moi de le publier. Pourtant, il est très simple, très court, mais il n’y est pas question d’informatique. Aujourd’hui, je ne vois plus d’obstacle à sa publication. Écrire, c’est aussi accepter de quelque peu se dévoiler. Certes, j’ai conscience qu’il sera très peu lu car hors contexte, mais qu’importe. Ce sera d’ailleurs le billet de clôture de la série.

Je ne sais pas si cette série vous plaira mais en tout cas, j’ai adoré retravailler et contextualiser mes anciens écrits. Je vous donne donc rendez-vous jeudi prochain pour le premier billet « Brouillon oublié ».

Réflexion autour du blogging

Comme je le disais dans mon édito du 10 février dernier, je suis relativement frustré par ma façon actuelle de bloguer. Paradoxalement, ce n’est pas le manque d’inspiration qui me pèse, mais le manque de temps… ou plutôt, le temps que je perds entre l’idée de billet, sa rédaction puis sa publication. Des idées de billets, j’en ai presque tous les jours. Malheureusement, lorsque j’arrive à me poser pour rédiger, souvent c’est le back-out ! La question est toujours la même : c’était quoi mon idée déjà ?

Du coup, je pense que je vais tenter une nouvelle approche dans les prochains temps. Je vais expérimenter les billets plus spontanés. Le principe est relativement simple : j’ai une idée de billet = je le rédige = je le publie dans la foulée. Moins de relecture, moins de questionnement, plus d’efficacité.

Pour tout vous dire, actuellement la rédaction d’un billet me prend 2 à 3 heures car je le retravaille plusieurs fois avant de les publier. Conséquence : souvent, mes brouillons traînent plusieurs jours voire plusieurs semaines avant d’être publiés. Un de mes billets est même resté à l’état de brouillon pendant 4 ans avant d’être publié, c’est vous dire. Il m’arrive même assez fréquemment de purement et simplement supprimer un brouillon avant publication car trop de temps étant passé, je ne les considère plus comme « spontané » voire outdated. Bref, il faut que je gagne en confiance et que je ressasse moins mes brouillons.

Je pense sincèrement qu’une telle méthodologie me permettrait d’arriver à des billets plus fluide et surtout, me permettrait de gagner du temps pour en rédiger plus. Le piège à éviter étant bien sûr de ne pas me mettre à publier des billets bâclés.

Bref, je vais tenter l’expérience et voir où cela me mène. Si vous avez des conseils à me donner pour arriver à « libérer » mon écriture, n’hésitez pas, je suis tout ouïe. 😛

À très bientôt,

Juan