De PluXml à… PluXml

J’ai changé d’avis !

Dans mon billet « anniversaire », j’indiquais qu’un de mes objectifs pour 2017 serait de changer de CMS. Vous vous en doutez, le CMS qui me titillait n’était autre que WordPress. Je l’ai donc installé (j’ai même failli tout casser) et j’ai commencé à faire mumuse avec. Je connais bien l’outil puisque nous l’utilisons au taff. Cependant, je me suis rapidement rendu compte que pour ce blog, WordPress ne me convient pas ! Je dirais même plus : tenter de passer à WordPress pour mon blog perso m’a conforter dans mon choix de PluXml.

J’avais donc initialement prévu de publier un billet intitulé « De PluXml à WordPress ». J’avais même déjà rédigé un brouillon que je vous laisse découvrir ci-dessous. Bien entendu, il n’est plus du tout d’actualité… je l’ai cependant commenté afin de vous expliquer pourquoi PluXml va continuer à propulser fièrement ce blog.

 

PluXml Logo

 

 

Comme énoncé dans mon billet anniversaire, je pense de plus en plus à changer de CMS pour la propulsion de ce blog. PluXml propulse fièrement ce petit bout de web depuis deux ans. Je n’ai pas grand chose à lui reprocher à vrai dire. Cet outil est simplement génial. Simple, léger et efficace, il ne m’a jamais posé de problème. Il s’est même bonifié lors de son passage en version 5.5.

Voyez comme dès les premières lignes, je ne peux m’empêcher de reconnaître les vertus de PluXml. ^^

 

Alors pourquoi changer si j’en suis satisfait me direz-vous ? Et bien des petits détails, de-ci, de-là qui finisse par vous embêter voire vous agacer un peu plus chaque jour (absence de pingback, gestion des plugins, gestionnaire de médias capricieux, etc.). Bien entendu, il y a aussi l’envie de changer d’air et de viser un outil plus complet.

Finalement, l’absence de pingback n’est pas problématique du fait que je retrouve les référents dans Piwik. C’est donc un faux problème.

La gestion des plugins n’est pas contraignante. Ce qui l’est, c’est de vérifier de temps à autre qu’une nouvelle version du plugin n’est pas disponible. Ce serait vraiment bien que, depuis l’interface d’admin, on soit notifié lorsqu’une nouvelle version d’un plugin est publié. Quant au gestionnaire de médias capricieux, ce n’est pas la faute de PluXml mais de ma façon d’utiliser Ckeditor.

Enfin, WordPress n’est pas forcément plus complet que PluXml pour mon utilisation. En effet, si je me réfère à mes besoins, WordPress ne sera que plus lourd que PluXml.

 

Approchant tout doucement de la centaine de billet, je me dis également que si je veux tester un autre CMS, c’est le moment. 100 billets, c’est peu, mais c’est déjà beaucoup à migrer proporement. Il me faudra non seulement basculer les billets dans la BDD, mais il me faudra également gérer les redirections pour ne pas trop perdre en référencement.

Pourquoi perdre du temps à changer de CMS ? À l’heure actuelle, je n’ai pas d’argument valable pour migrer. De tout façon, migrer 100 ou 1000 billets reviendra au même. Perdre du temps à gérer des redirections ? Très peu pour moi ! Je préfère utiliser ce temps à écrire.

 

WordPress est une valeur sure (pérennité assuré) avec des possibilités de montée en puissance sans commune mesure avec PluXml. De plus, le processus de mise à jour automatisé me fait clairement de l’oeil. 😉

Je pense que PluXml est tout aussi pérenne. Si aujourd’hui le développement de PluXml repose largement sur les épaules de Stéphane Ferrari (responsable du projet PluXml), rien ne nous empêche, nous utilisateurs de PluXml, de mettre la main à la patte et de participer activement à l’amélioration de l’outil. Plutôt que de douter de la pérennité de l’outil, je préfère donc miser dessus et je vais tenter de participer plus activement à son développement.

 

Bien entendu, je ne vais pas gagner sur tous les plans. Si m’adosser au CMS #1 va certainement me faire gagner en confort d’un point de vue blogging, la partie backup va être plus embêtante à réaliser.

Vu que mon PluXml est Git-é, je n’ai pas à me prendre la tête avec les sauvegardes. Une fois de plus, je préfère passer mon temps à blogger plutôt que de le perdre à gérer mes sauvegardes.

 

Bref, vous l’aurez compris, je ne suis pas prêt de quitter PluXml ! 🙂