o2switch, mon nouvel hébergeur

Voilà, la migration du blog de Gandi à o2switch est terminée. Le domaine a été transféré, les DNS sont en cours de propagation, mes comptes email sont à nouveau fonctionnels… bref, que du bonheur.

Finalement, il y aura eu une petite coupure de quelques heures ce matin du fait que je n’avais pas configuré les zones DNS pour que le domaine pointe vers https://blog.juansorroche.com de façon permanente. Du coup, lorsque les DNS de o2switch ont remplacé ceux de Gandi, blog.juansorroche.com ne renvoyait plus rien (par contre, le blog était accessible depuis juansorroche.com).

Oui, vous avez bien lu, ce blog est désormais accessible en https (les accès http sont automatiquement redirigés vers https). La mise en place de Let’s Encrypt se fait d’un simple clic depuis cpanel. Que du bonheur ! ^^

Concernant o2switch, je suis réellement impressionné par la réactivité de leur support. Je leur ai posé quelques questions par email ce matin et j’ai obtenu des réponses en moins de 5 minutes à chaque fois. Je suis bluffé. 🙂

Il va maintenant falloir que j’apprivoise cpanel et toutes ses fonctionnalités. J’étais habitué à l’interface de Gandi pour la gestion de mon domaine et de mon instance et j’avoue que je suis un peu perdu sur cpanel.

J’en ai d’ailleurs profité pour installer Piwik via Softaculous et franchement, c’est bluffant de simplicité. J’ai ensuite ajouté le plugin plxMakiPiwik à mon PluXml et le tour était joué.

Je suis vraiment content et satisfait de ces premiers pas avec mon nouvel hébergeur. Encore une fois : que du bonheur ! ^^

De Gandi à o2switch

J’ai fait mon choix ! Après plusieurs semaines de tergiversations, de doutes, de lectures de retours d’utilisateurs, j’ai enfin choisi mon prochain hébergeur : o2switch.

Offre unique o2switch

Les raisons qui ont motivé ce choix sont relativement simples :

  1. Fortement plébiscité par ses utilisateurs. Que ce soit Cyrille Borne, Bronco et bien d’autres, ils ne tarissent pas d’éloges sur ce service.
  2. Une seule et unique offre : pour 72 € TTC par an, la bande passante et l’espace disque sont illimités. Pas que je sois un gros consommateurs avec ce modeste blog sous PluXml mais c’est toujours rassurant d’en avoir sous le pied ^^
  3. Cerise sur le gâteau : o2switch est un hébergeur 100 % français !
  4. Let’s Encrypt : enfin, je vais pouvoir passer au Https 🙂

 

Bref, vous l’aurez compris, je suis convaincu ! ^^

Je vais donc procéder à la migration du blog ces prochains jours. Si vous rencontrez des difficultés à naviguer sur cet humble blog, ne vous inquiétez donc pas.

A très vite ^^

Vers un changement de solution d’hébergement

Comme énoncé dans mon billet « anniversaire » du blog, je souhaite changer d’hébergeur. Auto-hébergé pendant quelques semaines à sa création, j’ai rapidement opté pour une solution d’hébergement Gandi Simple Hosting. Si j’étais satisfait de cette solution jusqu’à présent, l’absence de SSL du pack S est clairement défavorable au rapport qualité/prix de l’offre.

Offres Gandi Simple Hosting

 

Actuellement, l’hébergement de ce blog me revient à 57,60 € TTC par an, auxquels il faut ajouter le coût du nom de domaine (15,60 € TTC par an) soit un total de 73,20 € TTC par an. Si je souhaites bénéficier du support du SSL, il me faudrait donc passer au pack M qui coûte tout de même le double du prix du pack S. Mon hébergement me reviendrait alors à 130,80 € TTC par an !  🙁

J’hésite donc actuellement entre deux solutions (hors coût nom de domaine) :

  1. o2switch et leur offre tout illimité à 72 € TTC par an
  2. OVH Perso à 43 € TTC par an

Pour le moment, j’ai une légère préférence pour o2switch qui est certes un peu plus cher mais dont j’ai d’excellent retours. ^^

Qu’en pensez-vous ? Des avis ou retours d’expérience à partager ?

Gandi Simple Hosting : Redirection permanente de www vers blog

Ce billet est un mémo personnel. Je le partage ici pour d’une part en conserver une trace et, d’autre part, car il pourrait servir à d’autres utilisateurs du service GSH. Pour info, ce mémo n’est valable que si vous utilisez les serveurs de nom (DNS) de Gandi. Ce mémo est basé sur ma configuration personnel. Libre à vous de l’adapter selon vos besoins.

Lors de la création de ce blog, j’ai opté pour l’adresse blog.juansorroche.com. Aujourd’hui, je souhaite que les internautes saisissant l’adresse www.juansorroche.com ou juansorroche.com ou encore n-importe-quoi-d-autre.juansorroche.com soient automatiquement redirigés vers blog.juansorroche.com.

Pour ce faire, c’est très simple :

  1. Connectez-vous sur votre compte Gandi.
  2. Cliquez sur le nom de domaine auquel vous souhaitez appliquer la redirection.
  3. Dans le menu de droite, cliquez sur « Gérer » de l’item « Redirections web« .
    Gandi.net - Redirections web
  4. Cliquez ensuite sur « Ajouter une redirection« . Vous arrivez alors sur ce formulaire :
    Gandi Ajouter une redirection
  5. Sélectionnez « Directe (permanente) » comme type de redirection puis indiquez le sous-domaine à rediriger. Enfin, saisissez l’adresse de destination.

 

Chaque fois que vous créez une redirection, votre fichier de zone DNS est automatiquement mis à jour.

Au final, votre panneau de gestion de redirections doit ressembler à cela :

Gandi Redirections enregistrées

N.B. : Il faut compter environ deux heures pour que le fichier de zone DNS soit propagé. Passé ce délai, vous accéderez à votre site quelque soit le sous-domaine saisie (ou non saisie).

Et le tour est joué ^^

Dégooglisation : oui, mais en douceur !

Comme beaucoup, mon moteur de recherche préféré est Google. Comme beaucoup, je suis de plus en plus inquiet de la stratégie de la multinationale du même nom qui trace mes faits et gestes sur la toile. Bien entendu, je n’ai rien à cacher. Cela dit, ce n’est pas parce que je n’ai rien à cacher que je souhaite qu’une entité, quelle qu’elle soit, se prenne le droit de collecter mes données personnelles et d’en faire commerce. Voir pire.

 

Illustration confidentialité

 

Comme beaucoup, j’ai envie de reprendre le contrôle de mes données. Une fois cela dit, il faut tout de même se rendre à l’évidence : les produits Google sont tout de même fichtrement bien foutus. Ils sont simples d’accès, puissants et gratuits… même si c’est nous le produit. Mon but n’est pas de me dégoogliser d’un coup, mais de tout doucement migrer mes outils actuels vers des solutions plus saines. J’attaque donc une migration en douceur. Je commence avec les emails et mon moteur de recherche par défaut. Pour le blog, vous savez déjà ce qu’il en est.

 

Lire la suite…

Auto-hébergement : expérience suspendue

Dans mon billet Auto-hébergement : le bon choix ?, je citais trois inconvénients à l’auto-hébergement : la sécurité, les sauvegardes et les pannes matérielles. Ce dernier inconvénient a eu raison de mon serveur fin de semaine dernière : le disque dur a rendu l’âme !

Pour ne pas laisser le blog trop longtemps hors-ligne, je me suis orienté vers un service de Gandi, mon fournisseur de nom de domaine : Simple Hosting. Il s’agit d’un service Paas (Platform as a service). Pour faire simple, vous disposez d’un environnement complet, à la carte, ou vous choisissez chaque élément de votre plateforme (pour ma part PHP + MySQL sur un pack S) et une instance vous est créée au jour, mois ou à l’année. Chaque instance est indépendante et autonome donc votre instance vous est entièrement dédiée. Par contre, contrairement à un serveur dédié, vous ne pouvez pas administrer le serveur (logique, c’est une instance, pas un serveur en tant que tel). Vous pouvez par contre administrer tous les services de votre instance.

Cette solution me convient donc parfaitement à l’heure actuelle car elle me laisse le temps de mener une réflexion sur mon prochain serveur. Vais-je réparer l’actuel ? Vais-je investir un petit peu de sous et me monter un petit serveur mieux équipé ? Vais-je finir par opter pour un dédié en ligne ? Je n’en sais rien pour le moment.

J’espère tout de même avoir le temps ces prochains jours d’aboutir ma réflexion et de rapidement revenir aux affaires. Contre toutes attentes, je pensais qu’une fois mon serveur décédé je serais soulagé de revenir à une solution gérée par un tiers. Je me rends compte que non, j’ai envie de continuer cette aventure de l’auto-hébergement. Malgré les heures passées à administrer, malgré les arrachages de cheveux, malgré les coupures intempestives… oui, malgré tout cela, je prends énormément de plaisir à gérer mes données.

Auto-hébergement : le bon choix ?

Depuis quelques mois, j’avais envie de me relancer dans l’auto-hébergement. J’avais déjà tenté l’expérience en 2010. Suite à un déménagement fin 2010, j’avais débranché mon serveur et ne l’avais jamais rebranché depuis. Début octobre 2014, j’ai donc ressorti mon petit serveur et ai réinstallé la bête… Bilan après un mois d’utilisation.

Je vois 3 « inconvénients » majeurs à l’auto-hébergement : la sécurité, les sauvegardes et les pannes matérielles.

La sécurité est le point qui me tracasse le plus. J’ai quelques notions de paramétrage de fail2ban et iptables mais je ne pense pas que cela sera suffisant dans la durée. D’autre part, j’ai la crainte de corrompre la sécurité de mon réseau local.

Les sauvegardes ne sont pas réellement un problème vu mon usage. Pour l’instant, le serveur n’héberge que mon blog et un petit serveur de mail qui ne me sert qu’à des fins de tests. Les sauvegardes sont donc relativement simples à effectuer. Grâce à PluXml, il me suffit de garder une copie des fichiers XML et le tour est joué.

Mon serveur est un netbook MSI Wind U100 de 2008. C’est une petite machine, totalement dépassée mais bougrement efficace comme petit serveur Web perso. Ce qui me fait un peu peur, c’est qu’il commence à avoir du vécu. Du coup, si une panne matérielle se manifestait, j’aurai passé des heures à paramétrer ce serveur pour rien. Bref, comme vous pouvez le constater, je n’ai pas totalement confiance en mon matériel.

Alors, s’autohéberger est-il un bon choix ? Pour le moment, je pense que je vais laisser mon blog tourner sur mon petit serveur perso. Cela dit, si la machine venait à défaillir, je ne resterai pas sur une solution auto-hébergée. Trop chronophage et trop risquée à mon goût. YunoHost (je reviendrai sur cette solution dans un billet à venir) m’a largement facilité la tâche mais j’ai tout de même passé des heures à paramétrer correctement les DNS, le serveur Nginx, etc. L’auto-hébergement est une solution d’apprentissage excellente mais très vite on se rend compte de ses limites de temps et de compétences et le passage à un prestataire prend tout son sens. Finalement, ne vaut-il pas mieux prendre du temps à rédiger du contenu plutôt qu’à gérer le contenant ?